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Recherche par lecteur : Jean Frey

429 résultats. Page 11 sur 22.

Durée : 38min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 19230
Résumé:Pour scène, un simple radeau avec trois naufragés... à cours de provisions. Pour survivre, l'un d'eux doit être mangé: le Gros, le Moyen ou le Petit? Commence une comédie tragique dont presque tout le déroulement se fonde sur la désignation du candidat. Chacun adopte une stratégie pour ne pas être mangé, avec des arguments plus ou moins légitimes pour sauver sa peau. Mais difficile de faire triompher la justice face à la ruse, la cruauté, la lâcheté.
Durée : 2h. 45min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 19228
Résumé:" Si tu avais vécu cette époque, tu comprendrais ce que tu nous dois. Tu ne sais pas ce qu'était la vie avant nous. Pour danser le tango, il fallait un courage ! Sais-tu que la proportion des femmes perdues était incroyablement faible, je ne sais pas, deux pour cent, peut-être ? Sais-tu qu'on s'extasiait devant la peinture naturaliste ? Et devant le théâtre bourgeois ! Le théâtre bourgeois, tu te rends compte, quelle horreur ! "
Durée : 3h. 3min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19319
Résumé:... 38 dialogues d'environ 4 pages entre un athée et un croyant qui sont autant de prétextes à des réflexions sur la foi, les croyances et l'athéisme. Les dialogues sont courts et naturels, ils emploient le langage de tous les jours et l'abus de citations ou d'arguments d'autorité a été interdit aux deux intervenants.
Lu par : Jean Frey
Durée : 2h. 56min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19113
Résumé:Un homme sur une moto, à laquelle est accrochée une remorque bringuebalante, traverse la campagne ukrainienne. Il veut se rendre dans la zone interdite autour de Tchernobyl. Il a une mission. Le voyage de Gouri est l'occasion pour lui de retrouver ceux qui sont restés là et d'évoquer un monde à jamais disparu où, ce qui a survécu au désastre, tient à quelques lueurs d'humanité.
Durée : 1h. 22min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 18981
Résumé:Argument : Marc est invité par son ami Serge à venir voir sa nouvelle acquisition, une toile d'environ un mètre soixante dix sur un mètre vingt peinte en blanc, avec de fins liserés blancs transversaux, que Serge vient d'acheter 200 000 francs. Atterré par cet achat, ne comprenant pas que son ami ait pu dépenser une somme pareille pour un tableau blanc, Marc donne d'abord son point de vue sans retenue, ne se souciant pas de l'avis de Serge. Puis il va trouver Yvan, leur ami commun, pour lui faire part de son incompréhension à propos de ce geste. Yvan, lui, ne pense rien de ce tableau. L'approche de son mariage le rend nerveux. Il ne veut surtout pas contrarier ses deux amis. Serge et Marc commencent à se disputer et entraînent Yvan dans leur confrontation. Les trois amis vont alors s'entre-déchirer autour de ce tableau blanc en invoquant tous les arguments qui tournent autour de l'art moderne et de l'art contemporain. L'affrontement ira bien au-delà de la seule question de l'art... Celui-ci ne laissera personne indemne. Serge ira jusqu'à dire ce qu'il pense vraiment de la femme de Marc, et Marc jusqu'à dire à Yvan d'annuler son mariage considérant qu'il fait une erreur. À force, Marc et Serge iront jusqu'à se battre. Finalement, pour sauver leur amitié, les trois amis vont sacrifier le tableau en dessinant dessus, puis vont le restaurer ensemble. (wikipedia.org)
Lu par : Jean Frey
Durée : 3h. 41min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18980
Résumé:En août 1994, le père de Benoît Damon et d'Yves Laplace est touché par une encéphalite, qui vient «pincer» les coeurs alentour et «réfuter» sa vie. Dans les jours, les semaines, les mois qui suivent, au fil de l'hospitalisation et du rétablissement aléatoire, les deux fils écrivent «sur» leur père (et sur leurs enfances) Le Coeur pincé et La Réfutation. Ces deux récits allaient connaître un certain retentissement. Seize ans plus tard, Benoît Damon et Yves Laplace ont revu leurs livres. Augmentés de photographies, de post-scriptum inédits et de préfaces croisées, ils prennent ainsi - avec leur publication simultanée à l'Aire bleue - un visage et un sens nouveaux.
Lu par : Jean Frey
Durée : 3h. 54min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 18972
Résumé:Au fil de la centaine de pages que compte le premier livre des Entretiens, Épictète esquisse le portrait du stoïcien accompli, c'est-à-dire celui de l'homme heureux. Dans ces réflexions, venant compléter le célèbre Manuel traduit dans cette même collection, cet ancien esclave (né en 50 et mort entre 125 et 130) jette les fondations de sa doctrine et de son enseignement. C'est ici, en effet, qu'il prend pour fondement la distinction entre ce qui est en notre pouvoir et ce qui ne l'est pas, critère qui lui permettra par la suite d'explorer une foule de questions d'une surprenante diversité. À l'instar de Socrate, Épictète interroge sans relâche. Comme lui, il ne laissa aucun écrit. Nous devons aux soins de son disciple Arrien d'avoir consigné dans les quatre livres des Entretiens les cours et les conférences de son maître. La pensée de ce grand sage stoïcien, profondément pragmatique, est un modèle de philosophie pratique. Désireux de nous guider vers le contentement intérieur, il nous montre comment combattre les difficultés et nous invite à nous affranchir à notre tour afin d'accéder à la véritable liberté. Par ses remarques et ses questions vigoureuses, Épictète amène qui sait le lire et l'écouter à résoudr
Lu par : Jean Frey
Durée : 4h. 55min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 18964
Résumé:Peu de temps avant sa mort, Théodore Géricault exécute dix portraits d'aliénés. Pensionnaire à l'hospice de Charenton, l'un d'entre eux, appelons-le "Monomane de la guillotine", s'adresse au jeune peintre durant trois séances de pose. II raconte la Révolution, évoque le marquis de Sade, Marie-Antoinette, Louis XVI et leur exécution. Tissant des liens entre les événements historiques et son destin individuel, cet "Enfant de la Patrie" convoque les figures parentales, sans doute jamais connues. Mais l'enquête est insoluble : bien que dévoilé, le mystère de la naissance demeure entier... "Je suis en ces lieux, comme je l'étais le jour de mon arrestation par trois hommes de main, je suis, j'étais, je demeure qui je suis : le fils de la guillotine."
Durée : 53min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 18935
Résumé:Dans la salle de dépôts des « petites et grandes inventions », une charmante jeune femme, Agnès, tente d'obtenir un rendez-vous avec le Président de l'institution pour obtenir une place. Un peu gauche, elle ne réussit pas à passer la barrière de l'huissier. Un monsieur de Bellac alors lui donne un conseil : pour obtenir ce qu'elle souhaite auprès des hommes, elle doit simplement leur dire « qu'ils sont beaux », et de les comparer à un « Apollon de Bellac », statue grecque évidemment fictive. Dubitative, mais confiante en cet inconnu, elle s'essaie dès lors systématiquement au stratagème auprès des différents fonctionnaires de l'administration et finit ainsi par atteindre le Président du bureau. Celui-ci, charmé par l'« aveu » fait par Agnès sur sa beauté renonce à son mariage et se déclare à Agnès. Dans une ultime déclaration, faite les yeux fermés au monsieur de Bellac, Agnès s'enflamme pour cet Apollon imaginaire qui lui a tant servi. (wikipédia)
Durée : 2h. 4min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 18913
Résumé:Cette pièce en 1 acte a été créée au Théâtre de l'Alliance française en décembre 1962. Dès le lever du rideau, le Roi apprend qu'il va mourir. Avant qu'il n'accepte son sort, le spectateur rit, tremble, et pleure. Ionesco cherche à montrer l'homme ramené à sa condition fondamentale, c'est-à-dire l'homme face à l'angoisse de la mort. 'Le roi se meurt' n'est pourtant pas une pièce triste. D'abord, parce que l'humour n'y est pas absent. Ensuite, et surtout, parce que Ionesco propose les remèdes pour sortir de la crise. Cette grande oeuvre classique est une leçon de dignité devant le destin.
Durée : 1h. 21min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 18901
Résumé:Simon Weinberg est mort. Un matin de novembre, il est, selon ses propres voeux, enseveli dans la propriété familiale du Loiret. Il fait beau. Ils sont six. Frères et soeurs, amants ou mari et femme. Le deuil leur donne le privilège de vivre, isolés, quelques heures sous le soleil qui s'attarde, à l'ombre du disparu, sous les arbres, dans la maison aux murs familiers, cet instant indescriptible où l'on retient son souffle, ce moment intense entre l'absence et le retour aux choses, entre le manque et la vie.
Durée : 1h. 42min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 18911
Résumé:Voici réunie en un seul volume l'œuvre de dramaturge de Yasmina Reza. Conversations après un enterrement, La Traversée de l'hiver, Art, L'homme du hasard, ont en quelques années imposé sur la scène française un auteur dont les huis clos, train, hôtel ou living, sont autant de prétextes à des comédies subtiles et décapantes, d'un ton profondément moderne.
Lu par : Jean Frey
Durée : 7h. 38min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19038
Résumé:Roth traite ici des thèmes qui lui sont devenus familiers. À nouveau, le corps, la maladie, la diminution physique, la mort. La poliomyélite, horrible maladie qu'on ne savait pas vaincre et qui tuait les enfants ou les paralysait, sévit dans le quartier italien de Newark. Nous sommes en 1944, c'est-à-dire en pleine guerre, alors que beaucoup de jeunes hommes sont sur le front, en Europe. L'épidémie gagne le quartier juif et la psychose se répand. Les efforts pour enrayer la maladie sont vains et les familles, affolées, en arrivent à prendre des précautions excessives, quand ce n'est pas à rejeter l'étranger, celui qu'on va d'emblée soupçonner et exclure. Bucky Cantor, un professeur de gymnastique, juif lui aussi, élevé, après que sa mère est morte et que son père a été arrêté pour vol, par un grand-père rigoureux et hautement moral, est le héros de la communauté (il a repoussé à lui seul une bande de voyous italiens venus « répandre la polio »). La suite du roman retrace l'histoire malheureuse de cet homme scrupuleux, responsable, d'une intelligence limitée, qui va prendre sur lui la responsabilité du mal. Si ce n'est pas un dieu ignoble qui est l'auteur de ces crimes - le dieu qui a tué sa mère et lui a donné pour père un voleur - alors c'est peut-être lui, Bucky Cantor, qui portait en germe, sans le savoir, la maladie et qui l'a répandue autour de lui. En effet, pour suivre sa fiancée, il a abandonné ses élèves malades - un abandon qu'il ne pourra se pardonner - puis découvert qu'il avait lui-même contracté la polio. D'un endroit à l'autre, il l'a transmise aux enfants, ses protégés, qui meurent comme des mouches. « Je voulais aider les gosses et les rendre forts, au lieu de cela, je leur ai fait un mal irréparable ». Enfin, il tombe malade. A la fin de l'ouvrage, il n'est plus qu'un homme bourrelé de culpabilité et de remords, qui a renoncé à tout, vit seul et pauvrement et, surtout, qui a perdu l'usage de son corps merveilleux - avec lui, avec la perte de sa mobilité, toute confiance en soi. L'image finale est une sorte d'hymne au corps, à sa force, à sa beauté quand il est jeune : le lancer de javelot tel que le pratiquait Cantor. L'histoire est racontée avec la force coutumière de Roth et le livre se lit d'un trait.
Lu par : Jean Frey
Durée : 4h. 17min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18974
Résumé:"Qu'est-ce que tu dirais si j'avais tué quelqu'un ?" J'ai cru qu'elle plaisantait ou qu'elle m'avait posé cette question à cause des romans policiers qu'elle avait l'habitude de lire, c'était d'ailleurs sa seule lecture. Peut-être que dans l'un de ces romans une femme posait la même question à son fiancé. "Ce que je dirais ? Rien."
Lu par : Jean Frey
Durée : 2h. 41min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 18888
Résumé:Cette étude interroge la nature et les finalités de l'industrie culturelle, définie par extension comme une industrie du divertissement.
Lu par : Jean Frey
Durée : 7h. 53min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 18789
Résumé:Dans ce bouleversant recueil d'observations, de réflexions et de témoignages entendus lors de différents reportages à Hiroshima, le Prix Nobel de littérature Kenzaburô Ôé s'interroge sur ce que nous avons réellement retenu, su et peut-être trop vite conclu du bombardement nucléaire. Il s'interroge, mais n'apporte pas de réponse. Il ne se pose pas en moralisateur, mais en simple rapporteur, en témoin humaniste et universel d'une catastrophe trop vite oubliée. C'est lors d'un reportage sur la neuvième conférence mondiale contre les armes nucléaires que Kenzaburô Ôé croise ces hommes et ces femmes, agonisants, défigurés, rescapés de ce funeste 6 août, écartelés entre "devoir de mémoire et droit de se taire". Il ira à leur rencontre, mais à celle aussi des médecins qui luttent courageusement contre le "syndrome des atomisés". C'est à tous ces héros silencieux qu'il rend ici un hommage poignant et digne.
Lu par : Jean Frey
Durée : 2h. 3min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 18731
Résumé:Ce recueil de trois textes est consacré aux débuts de l'histoire humaine et à la naissance de la création artistique. Jean Rouaud tente d'imaginer la vie quotidienne durant l'ère préhistorique, avec cette question à la clé: après la chasse, qui est chargé de dessiner l'exploit? Il évoque Lascaux, Rouffignac, etc. Pour l'auteur des Champs d'honneur, c'est le porteur de flèches, le ramasse-miettes, le petit estropié... celui qui ne pourrait pas faire de l'ombre au «grand caïd» apporteur de viandes. Pourquoi? Ne cherchez pas à comprendre, c'est la préhistoire revisitée par l'écrivain, qui a visiblement une sympathie pour les perdants de la vie. Les perdants? Pas si sûr, car des siècles après, c'est le ramasse-miettes, «dompteur de formes» qui a laissé sa trace dans l'Histoire. (Le Figaro Livres)
Lu par : Jean Frey
Durée : 9h. 30min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18723
Résumé:«Toute une vie brûlée inutilement ! Sur toutes les routes, j'ai laissé des gouttes de sang, des lambeaux de chair et surtout des lambeaux de ma dignité. » Panaït Istrati, le Gorki des Balkans comme le surnommait Romain Rolland, aurait eu cent ans en 1984 et son éditeur, en cet honneur, a publié « ce volume de textes autobiographiques qui reconstituent sa vie de vagabond et d'écrivain. Ce sont des pages en grande partie inédites ou publiées dans la presse de l'époque, inconnues du lecteur d'aujourd'hui. » Ces textes sont rassemblés en cinq parties concernant, des documents autobiographiques, la naissance de l'écrivain, des témoignages sur la liberté, la foi, les arts, l'humanité, le pèlerin du coeur (des hommages rendus à des amis disparus) et pour finir « les dernières années », des textes en forme de testament ou de bilan sur sa vie d'errance et de quête.
Lu par : Jean Frey
Durée : 3h. 56min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 18730
Résumé:"Pourquoi, se demandait Bertholt Brecht, aimerait-on d'un amour particulier le pays où l'on paie ses impôts ?" A lui, et à tous ceux qui ne voient les impôts que comme un fardeau, Pascal Broulis répond à sa manière, à la fois précise et enjouée. Sans grandes phrases, sans théories complexes, il raconte la fiscalité. Au gré de plus de cent cinquante anecdotes, il en touche toutes les facettes, dit son rôle dans l'établissement des équilibres sociaux, démontre son importance dans la construction des sociétés.
Lu par : Jean Frey
Durée : 6h. 3min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18700
Résumé:Hoffmann rêva toute sa vie du ciel doré de l'Italie : un ciel qu'il ne put jamais apercevoir qu'en songe. Raison pour quoi, sans doute, il logea Princesse Brambilla dans le décor le plus italien qui se puisse imaginer : le carnaval de Rome. Raison pour quoi, surtout, ce roman bref se trouve être le plus vibrant appel qu'il ait adressé de sa vie à la fuyante beauté : occasion de conjuguer sa fantaisie la moins retenue et le meilleur de cette ironie mélancolique qui est son élixir secret. Baudelaire voyait là la quintessence de l'imaginaire romantique : " Il faut lire Hoffmann, et surtout, avant tout, Princesse Brambilla, qui est comme un catéchisme de haute esthétique. "